Un atelier « Police scientifique » au centre de loisirs du Club Léo Lagrange
Lundi 28 avril, les 7-13 ans du Club Léo Lagrange Vienne ont participé à un atelier Police scientifique, avec à la clé un relevé d’empreinte et un diplôme de Police scientifique.
Lundi 28 avril, un agent de la police scientifique de Lyon a débarqué au Club Léo Lagrange pour animer un atelier au centre de loisirs. Les 7-13 ans ont rempli une fiche de signalisation, avec relevés d’identité et d’empreinte de chaque doigt. Les jeunes ont ensuite apposé leur empreinte digitale sur une petite assiette qui est ressortie à l’aide d’une poudre qui « vaut de l’or ». Avec du scotch transparent, elle a été « fossilisée ». Chaque enfant est reparti avec son empreinte, sa fiche de signalisation et son diplôme de « Police scientifique ». « J’ai beaucoup aimé quand on a relevé les empreintes. Ça montre comment ils font et on peut voir son empreinte sur le scotch », commente Sarah, 10 ans.
Vincent: « j’ai bien aimé les empreintes digitales »
Petits et grands sont unanimes. Léon, 7 ans, a préféré « quand on a fait les traces avec nos doigts ». Léandra, Mathéis, Léo et Hannah, âgés de 9 à 12 ans, ont trouvé que « le relevé d’empreintes, c’était marrant, cool ». Pour Vincent, 10 ans, « j’ai bien aimé les empreintes digitales, ce que les policiers scientifiques font, les objets qu’ils utilisent. » L’animatrice (anonyme de par son métier) a aussi expliqué l’historique de la Police scientifique, le procédé du relevé d’empreinte, de la recherche dans les fichiers et présenté sa mallette magique, avec gants de différentes couleurs et textures selon les produits auxquels les policiers scientifiques sont exposés, masques de protection, matériel de relevé d’ADN (le fameux « coton-tige »)…« Ça m’a plu de poser des questions sur la police scientifique », complète Mayeron, 8 ans.Un atelier ludique, où les enfants n’ont pas hésité à se salir les mains (avec les tampons encreurs pour les empreintes), afin de découvrir un métier qui suscite de la fascination et a suscité, après l’atelier, des vocations. « J’ai adoré. Ça apprend plein de choses, c’est passionnant », résume Eden, 9 ans.
